AMERIQUE LATINE - index    

Forum abc-latina

Discussions sur l' Amérique Latine

Vous n'êtes pas identifié.

  • |

#1 Brésil - Immobilier » Echange appartement à Ipanema contre un dans Paris » 2010-11-25 13:20:52

Alexrio
Réponses : 1

Nous vivons dans un grand appartement à IPANEMA, situation de rêve (vue sur la plage mythique). Nous cherchons à faire un échange contre un appartement à Paris (de préférence dans le quartier Latin).

Dates: 15 ou 20 décembre 2010 à 2 ou 9 janvier 2011.

Je peux envoyer plus d'info sur demande via email.

Alex

#2 Re : Brésil - économie business finance » Attention à la bulle bovespienne! » 2009-05-08 23:57:34

Chico brasil a écrit :

Une crise .....ou cela, j'en ai pas vu de crise au Brésil smile .......

Tu penses comme 26% de brésiliens qui n'ont jamais entendu parler de crise!

http://www.24horasnews.com.br/index.php … mat=290470

Par ailleurs, je pense effectivement que le Brésil a plus d'atouts économique et psychologique (comme l'a demontré la Grande peur de la grippe A récemment). Très important cette attitude positive contrairement à l'éternel pessimisme des français.

08/05/2009 - 15h44
Brasil tem margem para encarar crise, diz Nobel de Economia

da Agência Lusa, em Lisboa
da Folha Online
O prêmio Nobel da Economia Joseph Stiglitz afirmou nesta sexta-feira, em Estoril, na região de Lisboa, que o Brasil tem margem para enfrentar a crise mundial.

Para ele, "a recuperação econômica do Brasil vai depender em alguma medida da recuperação das exportações, mas é uma economia muito grande, que tem outras bases para crescimento econômico".

"A outra vantagem que tem o Brasil, curiosamente, é que o banco central [brasileiro] foi sempre, pensava eu, demasiado restritivo na política monetária. Esta é uma das vantagens de ter taxas de juro altas, é que agora podem baixá-las", explicou o professor norte-americano.

Stiglitz frisou que "o Brasil tem agora espaço de manobra para a sua política monetária", algo que os Estados Unidos e a Europa já não dispõem.

#3 Re : Brésil - économie business finance » [Livre] Amérique latine » 2009-05-08 18:44:03

Salève a écrit :

Pour le bouquin en question .... L'Auteur a été le directeur de Mémoire d DEA de Sciences Politiques de mon épouse il y a quelques années ... C'est l'un des spécialistes de l'Amerique Latine ... C'est un prof de Fac ( Paris I ou Paris III )  et un pilier de l'Institut des Hautes Etudes d' Amerique Latine ..
http://www.iheal.univ-paris3.fr/spip.php?article616

C'était aussi mon prof en 93-94...C'est un politologue pour ne pas dire (homme) politique. Il dirige bien, la preuve ce bouquin comporte plusieurs auteurs issus de l'IHEAL.

Personnellement je préfère Olvier Dabène qui a publié plusieurs livres sur l'Amérique latine

http://www.ceri-sciencespo.com/cerifr/c … dabene.php

et Alain Rouquié pour le Brésil.

http://www.bibliomonde.com/livre/bresil … -4916.html

#4 Brésil - économie business finance » Attention à la bulle bovespienne! » 2009-05-08 18:15:16

Alexrio
Réponses : 21

Les amis,

Quelques personnes pensent que ça y est la crise est passé (comme la grippe porcine) et investissent à nouveau en bourse au Brésil. Mais comme le dit Marc Fiorentino : "Il y a une nouvelle bulle qui s'est reformée dans ces marchés avec des valorisations à nouveau aberrantes".

Donc Cuidado! les expatriés au Brésil pour le moment devraient rester sur la poupança et...pour le moment c'est tout car c'est le plus rentable!

Ou vous pensez le contraire?


SPECTACULAIRE REBOND DES MARCHES EMERGENTS
07 mai 2009 | 07h51 dans L'EDITO DU JOUR

Ils ont rebondi avant, dés le mois de Novembre, et ils surperforment les marchés des pays développés: les pays émergents se sont envolés. Nouvelle Bulle?Si les indices des principaux pays développés ont rebondi d'environ 30% depuis leur point bas du 9 Mars, les pays émergents affichent des performances spectaculaires. Il faut dire qu'ils s'étaient littéralement effondrés à l'automne dernier aprés la faillite de Lehman. Mais quelle remontée! Les Bric sont à la fête. 80% pour le Brésil, 80% pour la Russie, 50% pour la Chine et l'Inde. Le rebond des marchés émergents a démarré plus tôt que celui des autres marchés et c'est le plan de relance Chinois en Novembre qui a servi de déclencheur. Il faut dire que le plan Chinois était le premier vrai et grand plan de relance a étre opérationnel, le plan américain n'ayant réellement démarré que le 1er Avril 2009.

Quels sont les autres facteurs qui expliquent cette hausse ?
La perception que le système bancaire des pays émergents est moins exposé, notamment par le fait que les banques ont moins d'actifs toxiques dans leurs bilans et sont donc moins soumis au risque de nationalisation et enfin la recherche de rendements plus élevés par les investisseurs depuis Mars. Des investisseurs qui cherchent des alternatives à des taux sans risque de zéro ou presque.

Il n'y a pas que leurs marchés boursiers qui montent, leurs devises aussi se sont envolées
Tout est corrélé. Même les devises de pays d'Europe de l'Est qu'on disait en faillite ont rebondi fortement. Idem pour les marchés obligataires sur lesquels la prime de risque a diminué. La question bien sur qui se pose est toujours la même: est ce que cela va durer? Ma réponse est à moyen terme non. Il y a une nouvelle bulle qui s'est reformée dans ces marchés avec des valorisations à nouveau aberrantes. Sur les 3 mois qui viennent, je privilégie plutot les marchés développés que les marchés émergents.

#5 Re : Brésil - économie business finance » Chute de la Bourse, chute du real? » 2008-12-06 17:56:26

C'est difficile de dire si le dollar (ou euro) va être à tel ou tel chiffre dans x temps...les politiques peuvent changer maintenant à tout moment. Il n'ya plus de régle fixe.

http://oglobo.globo.com/economia/miriam/#145061

Meirelles afirmou que políticas de controle da moeda estrangeira já se mostraram ineficazes no passado.

"O Banco Central não tem meta para taxa de câmbio, nem defende uma cotação específica", disse.

Ontem (4), o dólar atingiu sua maior cotação desde abril de 2005 e chegou a R$ 2,536. Hoje, a moeda norte-americana bateu R$ 2,62 no pico do dia, mas virou, após três intervenções do Banco Central.

Às 16h09, o dólar comercial é comercializado a R$ 2,472 na venda, o que significa um recuo de 2,52% sobre a cotação de ontem.

Pela manhã, o BC vendeu moeda no mercado à vista por duas vezes, sem conseguir deter a escalada das taxas. À tarde, às 15h15, a autoridade monetária voltou a atuar no mercado de moeda, oferecendo um montante de 30 mil contratos de "swap" cambial aos bancos, que tomaram 19.420, numa operação de US$ 951,8 milhões.

#6 Re : Brésil - économie business finance » Chute de la Bourse, chute du real? » 2008-12-05 22:27:24

BaRoN NoiR a écrit :

Alex la regle c est on rapatrie, parce que de toute façon la demande ne repartira pas de si tot
L euro ne monte pas face au dollar il se maintien péniblement au dessus de 1,20 !!

on panique déjà?

#7 Re : Brésil - économie business finance » Chute de la Bourse, chute du real? » 2008-12-05 15:40:37

En tout cas, il vaut mieux retirer du fric avec votre CB de votre chère banque française que d'aller dans un bureau de change. Ce n'était pas le cas lorsque l'euro était en dessous de 2.60 R$...

#8 Re : Brésil - économie business finance » Chute de la Bourse, chute du real? » 2008-12-05 15:37:56

Je suis d'accord. Je parie moi aussi sur une hausse momentanée du dollar (et euro) par rapport au real.

Mais combien de temps ce "moment"?

La crise affecte en tout le Brésil à grand pas. Les brésiliens qui ne sont pas à leur première crise semblent "despreocupados". Pourtant des licenciement massif s'annoncent, notamment des filiales étrangères, notamment française.

En tout cas, si j'ai bien compris l'équation : la bovespa baisse/ le real avec. WallStreet baisse / le dollar monte.

Ce qui me semble étrange tout de même c'est cette montée de l'euro qui au contraire devrait baisser rapidement...u au moins être bientôt à égalité (voir en dessous) du dollar.

pas de loi, pas de règle. Le capitaliste se porte bien messieurs!

ALex Rio

#9 Brésil - économie business finance » Le meilleur refuge de votre épargne: France ou Brésil? » 2008-11-03 14:35:52

Alexrio
Réponses : 2

La crise financière affecte tout le monde, surtout ceux qui ont placé en bourse aussi bien en France qu'au Brésil. Beaucoup vont bien sûr devoir attendre pour voir remonter un jour Ipovespa ou le CAC40. Ceux qui ont pu simplement placés leur petites économies de manière conservatrice dans une poupança par exemple, ont finalement été les plus sages.

Mais maintenant que la crise semble se résoudre, que faire? revenir en bourse? je ne pense pas. Car on ne sait pas si le cyclone ne va pas revenir encore d'ici quelques temps...et en force!

Les fonds "conservateurs" au Brésil semblent attrayants.

(voir : http://financenter.terra.com.br/Index.c … Secao/1544 ).

Alors qu'en France les "spécialistes" vous conseillent d'ouvrir un Livret A si ce n'est pas fait...et ne vous conseillent pas la bourse pas encore...

http://www.lesechos.fr/patrimoine/banque/300242452.htm

Personnellement, français résidant au Brésil, je pense que le Brésil est encore à risque. Il faut bien sûr profiter des offres alléchantes des fonds à 10%; mais est-ce que le Real va tenir encore face à l'euro?

Alors placer une partie (pas plus de 30%?) au Brésil oui, mais faites confiance à votre vieille Europe et la "vieille" France pour protéger votre patrimoine. Je pense que c'est le principal enseignement à tirer depuis le Krack financier.

#10 Re : Brésil - économie business finance » Parité Euro / Real » 2008-11-03 13:38:50

alexistour a écrit :

Parité. Bon c´est reparti dans l´autre sens... 1.00 EUR=2.7000 BRL un peu brutalement car il y a dix jours nous étions à 3,10 environ.
J´espère que tout le monde aura bien profité de la petite envolée du Real.

Ouais! ça a payé mon inscription à un Club -Gym à Lagoa pour un an. Je ne sais pas si l'euro va encore augmenter par contre. C'est plutôt le dollar qui monte et qui montera encore plus avec Obama certainement!

#11 Re : Brésil - économie business finance » 15 septembre, le début de la fin du capitalisme » 2008-10-11 21:10:42

Comme je l'ai écrit depuis un moment, 15/09 marque la chute du mur du capitalisme. L'URSS s'est écroulé 3 ans après, combien de temps pour que l'Empire US tombe?
Un américain d'origine africaine et musulman avec une femme genre Panthère noire sauvera l'empire?

Fidel Castro peut mourir tranquille, il peut être fière que son minuscule pays ait pu résister et même s'il n'a pas vaincu (Cuba est en train de se noyer économiquement), il a de l'espoir. L'espoir que certains jeunes ramassent "l'étoile rouge" de sa lutte idéologique.

Pour le moment, ce sont des économistes et autres décideurs qui reprennent cette étoile rouge...pour la re-capitaliser!

Mais enfin, regardez les amis ce qui se passe devant vos yeux : le capitalisme s'écroulle! donc tout ne sera plus comme avant. Par conséquence, ces "calculs" de dire combien va coûter le real ou combien Bovespa va monter, c'est fini!

Recommencer comme avant ce ne sera plus possible, surtout comme le rappelle très bien Bahia, d'autres Crises vont commencer. Notamment, la crise sociale et politique.
Et ça c'est très, très inquiétant! (surtout le nationalisme, jamais bon)
Le Brésil sera sans doute touché, mais pas à mon avis comme le sera l'Europe ou les USA.


Alexis

L texte  plus haut provient du journal Les Echos qui devient marxiste comme Minc, Sarko, Bush...

#12 Re : Brésil - économie business finance » 15 septembre, le début de la fin du capitalisme » 2008-10-10 09:13:13

LA CHRONIQUE DE FAVILLA
La bulle idéologique

Nul ne connaît encore le volume de la bulle immobilière américaine ni celui de la bulle financière occidentale. Elles restent toujours en partie cachées dans d'insondables rondelles de titrisation qui, à force de titriser du vent, récoltent la tempête. En revanche, la bulle idéologique apparaît en pleine lumière, dans toute son ampleur.

Cette bulle idéologique, la religion du marché tout-puissant, a de grandes ressemblances avec ce que fut l'idéologie communiste. Elles ont régné sans partage pendant plusieurs décennies : sept pour le communisme, presque quatre pour l'ultralibéralisme. C'est lors de la chute du Mur que l'on a découvert l'immensité du mensonge du premier système. On le pressentait, des esprits indépendants et courageux comme Soljenitsyne ou Havel l'avaient écrit depuis longtemps, mais soudain l'empire du mensonge était nu. On comprenait que tout n'avait été que propagande, que tout n'était que rêves frelatés, escroqueries intellectuelles et escroqueries tout court. Une bulle idéologique aux tragiques conséquences bien réelles.

La crise actuelle reproduit un scénario comparable. Depuis la mise en oeuvre, par Ronald Reagan et Margaret Thatcher, de la doctrine de Milton Friedman, le rouleau compresseur idéologique libéral a tout balayé sur son passage. Un grand nombre de chefs d'entreprise, d'universitaires, d'éditorialistes, de responsables politiques ne juraient plus - et avec quelle arrogance ! - que par le souverain marché. Ils avaient réussi à ringardiser Keynes au point de faire croire que même son fameux proverbe selon lequel les arbres ne montent pas jusqu'au ciel était faux. Toute voix dissonante, fût-elle timidement sociale-démocrate en rappelant les vertus d'un minimum de régulation publique, passait pour rescapée de Jurassik Park. Et voici que tout à coup, la vérité apparaît. L'autorégulation du marché est un mythe idéologique, le jeu des acteurs économiques affranchis de toute règle ne converge pas mais, au contraire, diverge gravement, aidé en cela par le naufrage éthique de certaines élites financières. Bref, la doctrine friedmanienne est erronée parce que toute mécanique humaine sans contre-pouvoirs ne tend pas vers l'équilibre mais vers la spéculation, c'est-à-dire vers la déraison. C'est le sage Montesquieu et sa théorie de l'équilibre des pouvoirs qui a vu juste sur la nature humaine, pas les théoriciens du marché intégral.

L'effondrement des marchés fait ainsi figure de chute du Mur pour les fondamentalistes libéraux. Leur bulle doctrinale est nue comme le fut la bulle communiste en 1989. Quand, après tant d'arrogance idéologique productrice de tant d'excès, le moment viendra de reconstruire, il conviendra de doser le bon mélange de libertés, de règles et de contrôles, et se garder de tout esprit de système, car c'est avec des systèmes que l'on crée les rêves les plus fous et les malheurs les plus grands.

#13 Re : Brésil - économie business finance » Le Brésil plus indépendant que la France » 2008-10-08 21:12:37

'Choques' causarão desacelaração do Brasil, diz FMI

Bruno Garcez
Da BBC Brasil em Washignton



   

FMI diz que real mais desvalorizado irá impulsionar a inflação
O Fundo Monetário Internacional estima que a economia brasileira está enfrentando ''uma série de choques'' que deverão provocar a sua desaceleração a partir do ano que vem.
De acordo com Charles Collyns, diretor-adjunto do Departamento de Pesquisas do FMI, estes diversos choques são ''as condições financeiras internacionais, que estão piorando, a crescente escassez de liquidez - que explica as pressões sobre a moeda brasileira - e o fato de o Brasil ser um grande exportador de commodities, cujos preços estão caindo''.

Em seu relatório Panorama Econômico Mundial, divulgado nesta quarta-feira, o fundo estimou que o Brasil crescerá 3,5% em 2009, taxa inferior à projeção deste ano, de 5,2%.

O fundo estima ainda que a taxa de inflação para este ano ficará em 5,7%, contra 3,6%, em 2007, e deverá ser de 5,1% no ano que vem.

Câmbio

Segundo Collyns, ''haverá menos crescimento, e a queda da taxa de câmbio por si só vai ser um componente a mais para a pressão inflacionária''.

Mas o economista diz que ''como o Brasil é uma grande economia, o efeito dominante deverá ser o da desaceleração do crescimento, nem tanto o da taxa de câmbio''.

E isso, avalia Collyns, deveria ser usado como uma oportunidade para que o Banco Central possa voltar suas atenções em outra direção, ''a de começar a cortar taxas de juros se a perspectiva de crescimento continuar a deteriorar''.

''Como o Brasil foi muito prudente em suas políticas macroeconômicas nos últimos anos, ele poderá se beneficiar das bases que criou'', comentou.

O diretor-adjunto afirma que o Brasil tem recentemente respondido com rapidez a problemas específicos, como a falta de liquidez nos mercados e feito um uso apropriado de suas vastas reservas.

Mas acrescenta que ''poderá não haver espaço para ajustar a política monetária se os riscos ao crescimento prosseguirem''.

Leia também na BBC Brasil: Para FMI, pior da crise financeira ainda está por vir
Clique aqui para ver o especial da BBC Brasil sobre a crise financeira global

#14 Re : Brésil - économie business finance » Le Brésil plus indépendant que la France » 2008-10-07 20:12:11

Avec ce qui se passe actuellement dans la planète finance, on constate que le Brésil est en train d'entrer dans l'oeil du cyclone de la crise aussi.

A plus de 3 reais l'euro ce n'est même plus la peine d'acheter des reais (comme le sugère notre ami Chiuni); il vaut mieux garder ces économies en France et attendre, car ici la crise arrivera certainement et ça va faire des ravages.
D'ailleurs faites le calcul, votre poupança en 1 an avec un euro à 2.60 et maintenant avec 3.15. Il valait mieux garder vos euros dans votre bonne et vieille banque française!

et si fin 2010 l'euro monte à 4 reais?

Bref pour paraphraser 'adage bien connu : n'attrapez pas un real qui tombe!


donc, garder ces économies en France me paraît plus sage...à suivre évidemment!

Alex Rio

* Ne pas attraper un couteau qui tombe ou en d’autres termes, ne pas se jeter spontanément et de manière irréfléchie sur un titre dont le cours est en chute libre.
Bien évidemment, il est tentant de vouloir faire « une bonne affaire ». Mais en Bourse, la période des soldes n’existe pas, elle n’est pas non plus saisonnière, ni réglementée. Et si vous voyez une valeur chuter de 20%, 30% ou plus en l’espace de quelques séances, il peut s’avérer très dangereux d’en déduire que cette braderie constitue une opportunité.
Car au-delà du manque de confiance suscité par cette valeur, se cache bien souvent une dégradation des fondamentaux et en conséquence, une dégradation de l’évaluation même du titre.

#15 Re : Brésil - économie business finance » 15 septembre, le début de la fin du capitalisme » 2008-09-30 20:42:57

niala_78 a écrit :

hé bé,
ça devient interessant de passer ses euros en reals

et selon ce que j'ai vécu ces 2 derniers années, ça peut changer vite. Profiter des hausses qui durent peu de temps et donc passer quelques euros en reais maintenant.

Je ne sais pas pourquoi je ne peux pas sortir avec ma CB 2 jours après : 1.000 R$...

#16 Re : Brésil - économie business finance » 15 septembre, le début de la fin du capitalisme » 2008-09-29 20:31:42

Crack de la bourse de SP et NY

DÓLAR    VENDA    COMPRA
Comercial    1,968    1,966


EURO    VENDA    COMPRA
Euro x Real    2,8477    2,8448


Après le rejet du Plan Paulson par les Représentants US.
comment interpreter ce rejet? je vous recommande de lire ceci : http://www.michaelmoore.com/words/messa … php?id=235

#17 Re : Brésil - économie business finance » Le Brésil dans la tourmente financière, conséquences en vue » 2008-09-29 17:48:19

Bravo! Bonne analyse.

Je pense néanmoins que le Brésil tiendra sans doute mieux que la France. L'euro à 2.90? chiche! c'est le moment d'investir et acheter avec des euros alors? Avant sa chute qui, on l'a vu ces 2 dernières années, peut être aussi rapide que sa montée. En ce moment j'achète avec ma CB française.

Par contre, je ne sais pas si Itau va vraiment annoncer des pertes. Pour le moment c'est plutôt le contraire comme le démontre cet article :

Itaú ganha mercado com crise americana


São Paulo, 24 de Setembro de 2008 - Ao contrário dos bancos norte-americanos, as instituições financeiras brasileiras não têm, por enquanto, motivos para reclamar da crise e estão aproveitando o momento do mercado para ganhar novos clientes.
Só na última semana, o Itaú Private Bank levantou a captação de cerca de R$ 700 milhões de novos recursos, que devem entrar para a carteira do banco, com os clientes optando pela migração do seu patrimônio em instituições estrangeiras com o agravamento da crise no mercado financeiro nos Estados Unidos. "Nós mapeamos esse fluxo de recursos em apenas dois dias durante o pico da crise que abalou os bancos de investimento levando a queda do Lehman Brothers e a compra do Merrill Lynch pelo Bank of America", diz Paulo Corchaki, diretor de investimentos do Itaú Private Bank.

http://www.gazetamercantil.com.br/integ … 83616,UIOU

Par contre, j'ai des doutes sur HSBC...

#18 Re : Brésil - économie business finance » Le Brésil plus indépendant que la France » 2008-09-29 15:53:13

C'est ce qui m'inquiète Chiuni.
Pas d'alternative alors que nous vivons actuellement un moment historique : la planète est en feu!

On a laissé Néron-Bush détruire son Empire et nous avec!

On va en Afghanistan, on tolère l'intervention en Irak, on laisse les US faire leur loi partout dans le monde. Parallèlement ses amis font la loi dans la planète financière et nous continuons à appliquer les méthodes de Harvard ou HEC por nos entreprises et dans notre vie de tous les jours.

A force de penser que la chute du mur de Berlin marquait la victoire des idées capitalistes et qu'il n'y avait plsu rien à faire (comme le PS qui a continué la même politique que ses partenaires). La facilité de nos cadres, notre "élite, de tous appliquer la même politique sans chercher d'autres alternatives nous mène dans le mur!

On retrouve maintenant des accents "révolutionnaires" dans les discours de Sarko! et Père Rocard d'applaudir...l'arbre qui cache la forêt en feu!

Ce qui m'inquiète (plus que le chicarisme de SArko), c'est la comparaison avec 1929, une poussée de l'extrême droite en Autriche, encore l'Autriche...comme l'autrichien H.  A un moment où la planète est en feu les extrémistes reviennent vite au galop!

#19 Re : Brésil - économie business finance » 15 septembre, le début de la fin du capitalisme » 2008-09-29 15:33:29

Axiom,

c'est je pense qu'il s'agit d'un coup dur pour ceux qui avaient parié pour un euro à 2 R$, Bovespa en hausse, spéculer sur le pétrole et MP,....alors que tout indiquait le contraire!

Parier ou spéculer de manière pas très saine sans tenir en compte de la réalité économique malgré la crise de subprimes n'a pas été un bon choix, comme je l'avais indiqué il y a un an sur le topique "Chute de la Bourse, chute du real?"

C'est pour ça je pense qu'il faut se demander si le système capitalisme n'est pas en train de s'éffondrer et donc faire gaffe comme citoyens des choix que vont prendre nos élus.

#20 Re : Brésil - économie business finance » Le Brésil plus indépendant que la France » 2008-09-29 15:15:27

Si c'est un Séguiniste qui désavoue maintenant un Ministre important du Sarkosisme...c'est vraiment qu'il y a crise aussi au sein du pouvoir.

Zarko est arrivé!

Sans blagues, les français y croient encore à ce président qui ne fait que du vent?

Il passe d'un discours à un autre et change de cravatte (ou montre) selon les personnes qui son face à lui. Il peut nosu faire des beaux discours (écrit pas Guaino) mais que fais t-il? NADA!

#21 Re : Brésil - économie business finance » Le Brésil plus indépendant que la France » 2008-09-28 22:52:36

Oladoube a écrit :

Salut Alexrio, salut toutes et tous

pour la croissance brésilienne a 5% quelles sont les sources ? merci

La croissance brésilienne comme celle de la France est revu à la baisse pour 2009: moins de 4%, mais croissance quand même! Alors qu'en France on se dirige sans doute vers une recession, malgrè madame la Marquise Lagarde; le Brésil comme d'autres pays émergents sont perçus comme des "sauveurs".

est-ce trop demander? On se dirige vers une récession mondiale ou pas?

mpacto da crise
Governo fala em PIB abaixo de 4% em 2009
POSTADO ÀS 16:32 EM 28 DE Setembro DE 2008

Da Folha Online

Apesar do otimismo do ministro Guido Mantega (Fazenda) --que ainda acredita num crescimento econômico de 4,5% no próximo ano--, já há dentro do próprio governo uma avaliação de que essa taxa pode ficar na casa dos 4% ou menos depois do agravamento da crise financeira mundial, informam Valdo Cruz e Kennedy Alencar, em matéria publicada na Folha de S. Paulo.

Num cenário mais pessimista, o crescimento do PIB em 2009 pode até ficar em 3,5%, caso a secura no mercado de crédito externo se mantenha por um período mais longo. A confirmação desse cenário dependerá do sucesso ou fracasso do pacote de US$ 700 bilhões dos EUA.

Se ele for bem-sucedido, aposta-se que o Brasil possa crescer ao menos 4%, com a volta mais rápida da normalidade no mercado de crédito externo, responsável por parte significativa dos financiamentos de investimentos no país.

#22 Re : Brésil - économie business finance » 15 septembre, le début de la fin du capitalisme » 2008-09-25 00:57:35

Et un autre article sur les investissements au brésil:

   
Atualizado às: 24 de setembro, 2008 - 17h03 GMT (14h03 Brasília)

       
Envie por e-mail           Versão para impressão
Investimentos no Brasil cresceram 84% em 2007, diz ONU

   
Fábrica de alumínio
Alta das commodities alimenta disputa entre governos e empresas
O Brasil foi o país que mais recebeu investimentos externos diretos (IED) na América Latina no ano passado, segundo um relatório da Unctad, o braço da ONU para comércio e desenvolvimento, divulgado nesta quarta-feira.

O país, que tradicionalmente disputa esse título com o México, recebeu US$ 34,6 bilhões de dólares no ano passado, um aumento de 84% em relação a 2006. Os setores que mais se beneficiaram da entrada de recursos foram o de mineração, metalurgia, alimentos e bebidas, refinarias e petroquímicas.

Os mexicanos ficaram em segundo lugar no ranking latino-americano de investimentos, com US$ 24,7 bilhões recebidos – um aumento de quase 30% em relação a 2006, afirma o relatório.

Esses dois países e mais o Chile foram o destino de sete em cada dez dólares produtivos enviados à América Latina e ao Caribe no ano passado, quando a região bateu recorde de recepção de recursos: US$ 126 bilhões recebidos, um aumento de 36% em relação a 2006.

Excluindo-se os centros financeiros offshore, o aumento do investimento produtivo foi até maior: 53%, para US$ 105 bilhões, diz a Unctad.

Recursos naturais

No Relatório sobre os Investimentos no Mundo (WIR, na sigla em inglês), os economistas da Unctad situam o aumento dos investimentos no Brasil e na América Latina no contexto de uma busca por recursos naturais que coloca tanto governos como empresas privadas competindo pelo controle das mesmas reservas.

Os altos preços das commodities – o barril do petróleo oscilou nos últimos dias entre US$ 100 e US$ 120, por exemplo – continuou tornando atraentes os investimentos, mesmo diante de um cenário em que governos adotam medidas para elevar seu controle sobre o setor primário.

Apenas na Venezuela, na Bolívia e no Equador, a entrada de investimentos externos foi muito pequena ou negativa, no que a Unctad interpretou como decorrência das restrições ou incertezas em relação às operações de empresas privadas nesses países.

Na região como um todo, o ambiente de negócios é mais propício aos investimentos externos no setor de mineração, mais aberto à concorrência, do que de petróleo e gás, em que companhias estatais dominam o cenário, segundo o relatório.

Investimentos fora

Outro aspecto destacado no relatório foram os investimentos realizados por países latino-americanos, sobretudo Brasil e México, em outras nações.

Excluindo-se os centros financeiros, o total desta rubrica caiu 43% no ano passado – para US$ 24 bilhões – mas apenas porque voltou a patamares que a Unctad descreveu como "normais".

É que, no ano retrasado, a compra da mineradora Inco pela Vale do Rio Doce (CVRD), no valor de US$ 17 bilhões, havia elevado os investimentos externos a patamares considerados "extraordinários".

   
De forma geral, os dados de investimentos diretos no exterior podem estar subestimando a velocidade da internacionalização das empresas latino-americanas. As companhias latino-americanas, sobretudo do Brasil e do México, agora competem por liderança mundial (em vários setores).

Relatório da Unctad (WIR 08)

Ainda assim, os números de investimento de companhias latino-americanas fora de seus países são maiores do que nos anos anteriores. O Brasil, por exemplo, investiu US$ 7 bilhões no exterior em 2007, o equivalente a quase três vezes a média anual de US$ 2,5 bilhões registrada entre 2000 e 2005.

Já as empresas mexicanas investiram no ano passado 43% a mais do que no retrasado: US$ 8,3 bilhões, de acordo com o relatório.

"De forma geral, os dados de investimentos diretos no exterior podem estar subestimando a velocidade da internacionalização das empresas latino-americanas", afirma a Unctad.

"Isso porque algumas aquisições importantes no exterior não foram registradas como investimentos nos balanços de pagamentos", acrescenta o relatório.

"As companhias latino-americanas, sobretudo do Brasil e do México, agora competem por liderança mundial em indústrias como petróleo e gás, mineração, cimento, aço, e alimentos e bebidas."

"Além disso, além das indústrias tradicionais, novas transnacionais estão aparecendo em setores como software, petroquímica e refino de biocombustíveis", completa o documento.

No mundo, os investimentos externos diretos também bateram recorde: chegaram a US$ 1,8 trilhão no ano passado. Os países desenvolvidos abocanharam US$ 1,25 trilhão e os emergentes, US$ 500 bilhões.

Neste ano, entretanto, a Unctad diz esperar que a crise financeira comece a surtir efeitos sobre a economia mundial, reduzindo a atividade econômica e, portanto, os investimentos externos.

#23 Re : Brésil - économie business finance » 15 septembre, le début de la fin du capitalisme » 2008-09-25 00:53:44

En tout cas Lula est optimite concernant son pays...à voir! car le brésil est ié à la finance mondiale de manière sans doute dangeureuse pour ce pays...

Lire :

UN CHOC MONDIAL
Sao Paulo : pour Lula, les effets seront "quasi imperceptibles" au Brésil
LE MONDE | 23.09.08 | 14h13


a crise ? Demandez à Bush, c'est la sienne, pas la mienne !" Le président brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva, fustige tout ensemble les Etats-Unis, pour leur "lenteur" à réagir, les banques, "ces donneuses de leçons en train de faire faillite" et "le casino du système financier international où certains ont joué à la roulette et perdu". Mais, s'agissant de son pays, il se veut rassurant : "Nous ne permettrons pas que le Brésil soit victime de ces jeux de hasard." Et sans doute un peu trop optimiste lorsqu'il prévoit que les effets de la crise seront "quasi imperceptibles" au Brésil.


La Bourse et la monnaie ont subi la tempête de plein fouet. A Sao Paulo, la plus grande place financière d'Amérique latine a connu ses pires journées depuis le 11 septembre 2001. Son principal indicateur, Ibovespa, a chuté fortement avant de retrouver, cinq jours plus tard, son niveau antérieur. La monnaie, le real, a accéléré sa baisse, commencée depuis quelques semaines, face au dollar. La devise brésilienne a perdu tous les gains accumulés depuis janvier.

Le Yo-Yo de la Bourse n'est pas dramatique. Le marché n'avait cessé de grimper depuis 2004. Ses progrès enregistraient les bonnes performances de l'économie. L'indice avait atteint un sommet en mai avant de redescendre de 30 %. Nombre de valeurs, hier artificiellement gonflées par l'euphorie du marché local, étaient et restent excessives. Pour les experts, la crise actuelle offre l'occasion d'une correction salutaire. La Bourse s'autonettoie, apure ses valeurs et permet à ses acteurs de consolider leurs assises. La majorité des entreprises cotées ayant les reins solides, le marché devrait peu à peu prendre une nouvelle vigueur.

La fragilité de la monnaie est plus inquiétante. Beaucoup la jugeaient surévaluée, mais regrettent la façon dont elle s'est affaissée, victime d'une fuite des capitaux. Contraints de retirer leurs gains au Brésil pour couvrir leurs pertes ailleurs, les investisseurs ont de facto provoqué la chute du real.

Cette attaque a mis en lumière la vulnérabilité du Brésil, devenu très dépendant des mouvements des fonds spéculatifs à court terme. Ces fonds représentent le triple du montant, pourtant très confortable - 208 milliards de dollars (142,5 milliards d'euros) -, des réserves en devises du pays.

La croissance du PIB avait atteint 5,4 % en 2007. Estimée à 4,6 % en 2008, elle devrait plafonner entre 3 % et 3,5 % en 2009 si, comme certains le craignent ici, la contraction du commerce mondial entraîne une baisse de la demande des matières premières et des produits agricoles ainsi que de leur prix.

Le Brésil a élargi le cercle de ses clients. Les Etats-Unis n'absorbent plus que 14 % de ses ventes, contre 24 % en 2000, la Chine ayant considérablement accru sa part (11 %). Mais les Etats-Unis et l'Europe achètent encore près de la moitié des exportations brésiliennes. Une quasi-récession chez eux affecterait forcément la balance commerciale brésilienne. Pour l'instant, la plupart des experts croient au maintien d'une demande soutenue des produits agricoles.

La bonne tenue des fondamentaux de l'économie justifie le prudent optimisme des Brésiliens. L'inflation est contenue autour de 4,5 %. Promu "pays sûr" pour les investisseurs, le Brésil est devenu "créditeur" depuis que ses réserves ont dépassé le montant de sa dette extérieure publique et privée. Le crédit intérieur va sans doute se resserrer, mais les banques se portent bien. Leur prospérité reflète un dynamisme interne nourri par l'investissement des entreprises et la consommation des ménages.


Jean-Pierre Langellier (Correspondant)
Article paru dans l'édition du 24.09.08

#24 Re : Brésil - économie business finance » 15 septembre, le début de la fin du capitalisme » 2008-09-19 18:01:37

Euh....on peut revenir sur le thème?

Du jamais vu, qui aurait cru? Bush donnant à l'Etat une place que le républicains ont toujours rejeté! Reagan revient ils sont devenus fous!

Et le petit SArko. Le "champion" des libéraux français, de Neuilly et tout autour (la France quoi!), le petit nain avec sa Blanche Neige chanteuse, va nous raconter un petit conte qui consistera en fait à nous expliquer pourquoi il appliquera lui aussi la politique des socialistes interventionistes. Au secours Tonton, la gauche revient avec Sarko!

Lula peut se maintenir comme il est. Peut-être juste revenir à ses sources de dangeureux gauchiste syndicaliste.

Qui a dit que le socialisme était enterré?

Alexis

Ps: La bourse revient à des niveaux d'il y a une semaine...comme si rien était? Alors là si c'est le cas on va avoir une bombe qui pète devant nous! (je préfère une bombe qui se la pète!)

#25 Brésil - économie business finance » 15 septembre, le début de la fin du capitalisme » 2008-09-17 19:15:48

Alexrio
Réponses : 68

16 ans après la chute du modèle soviétique, la chute du modèle capitaliste américain est en feu!

L'irresponsabilité des américains en commençant par Reagan et renforcée par Bush pour imposer un modèle Libéral centré sur la finance mondiale avec des valeurs de profit, spéculation, dominateur...est en train de nous mener vers un monde obscur et sans sens.

"Territoires inconnus" à savoir faute d'alternative on se dirige vers un monde inconnu. Qui aurait pu penser que les USA des républicains néoconservateurs allaient appliquer des méthodes socialistes!!! Au Secours Marx où es-tu? N'importe quoi!

La Bourse Brésilienne commence à se casser la gueule car des investisseurs étrangers venus chercher du profit facile rentrent chez eux, un repli sur-soi pas très salutaire.

Pourtant, je pense que Lula a plus d'atouts que Sarko et Bush. On rentre dans un monde incertain..."ni capitaliste, ni socialiste".

Alexis
Rio de Janeiro

Pied de page des forums

Propulsé par FluxBB

© 2001-2018 abc-latina - Tous droits réservés
abc-latina.com - L' AMERIQUE LATINE sur Internet