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borninusa

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Re : Quand on dit qu'il n'y a pas la crise au Brésil

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borninusa

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Re : Quand on dit qu'il n'y a pas la crise au Brésil

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Re : Quand on dit qu'il n'y a pas la crise au Brésil

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Re : Quand on dit qu'il n'y a pas la crise au Brésil

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Indysantista

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Re : Quand on dit qu'il n'y a pas la crise au Brésil

Prob se voit? faute aux mêmes. Prof de santé pour SS (si patients = élections paumées). Maçonneries pour tout le social. Big Brother inconnu pour finance etc.
Manteiga accuse usage frauduleux de l'assurance emploi... trouve rien.. laisse tomber... juste que l'usage n'avait pas été calculé... prendre des lois sans savoir leur coût.
Plein emploi = pas de qualifié, peine à virer un mec, salaires élevés non mérités, coût Brésil exporte pas... 50% mobilité annuelle du travailleur lambda.
Jamais le temps de savoir son travail sur le tas... puisque pas formé et surtout, jeitinho voleur, on reste jusqu'à 3 mois au frais de la princesse avant de refaire semblant de travailler.  Granilha x millions = déficit chronique. 4% non déclarés.. qui peuvent aider en crevant de faim... le pays coule... Gardez le vent en poupe avec le  G PT.

VASP

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Re : Quand on dit qu'il n'y a pas la crise au Brésil

Prob se voit? faute aux mêmes. Prof de santé pour SS (si patients = élections paumées). Maçonneries pour tout le social. Big Brother inconnu pour finance etc.
Manteiga accuse usage frauduleux de l'assurance emploi... trouve rien.. laisse tomber... juste que l'usage n'avait pas été calculé... prendre des lois sans savoir leur coût.
Plein emploi = pas de qualifié, peine à virer un mec, salaires élevés non mérités, coût Brésil exporte pas... 50% mobilité annuelle du travailleur lambda.
Jamais le temps de savoir son travail sur le tas... puisque pas formé et surtout, jeitinho voleur, on reste jusqu'à 3 mois au frais de la princesse avant de refaire semblant de travailler.  Granilha x millions = déficit chronique. 4% non déclarés.. qui peuvent aider en crevant de faim... le pays coule... Gardez le vent en poupe avec le  G PT.

10 lignes résumant tout ton amour pour le brésil?
Tu tire au canon Schwerer Gustav, je vois...
Tu fais une overdose d'arroz feijao?
LOL

Indysantista

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Re : Quand on dit qu'il n'y a pas la crise au Brésil

L’amour est une denrée trop rare et superbe pour être galvaudée.
Sa rareté fait qu’il est périssable mais peut parfois renaitre comme le Phénix.

Que mon intérêt actuellement se déplace est dans ma norme de vie. Cycle de 10 ans dont une femme aura occupé 6 à 7 ans.  Le Brésil m’attirait, de lui les détails me révélait, de ses entrailles jusqu’à la mer.. je fouinais, cette femme j’ai connu, une autre arrive.

Des Brésiliens parlent de leur pays en ces termes. Pourquoi voir une vierge alors qu’il est prouvé que c’est une pute ? Que l’avenir de toute vierge est la putasserie… et qu’ainsi va le monde depuis sa création.
Pas un petit Indy à la mord-moi le nœud qui va changer la trajectoire de la terre !!!!

VASP

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Re : Quand on dit qu'il n'y a pas la crise au Brésil

L’amour est une denrée trop rare et superbe pour être galvaudée.
Sa rareté fait qu’il est périssable mais peut parfois renaitre comme le Phénix.

la bonté et la bienveillance et surtout la lucidité
que muitobon décrivait dans sa belle prose sur Indy,

Que mon intérêt actuellement se déplace est dans ma norme de vie. Cycle de 10 ans dont une femme aura occupé 6 à 7 ans.  Le Brésil m’attirait, de lui les détails me révélait, de ses entrailles jusqu’à la mer.. je fouinais, cette femme j’ai connu, une autre arrive.

L'honneur, la fidélité, la sincérité et le courage.

Des Brésiliens parlent de leur pays en ces termes. Pourquoi voir une vierge alors qu’il est prouvé que c’est une pute ? Que l’avenir de toute vierge est la putasserie… et qu’ainsi va le monde depuis sa création.

la bonté et la bienveillance...

Pas un petit Indy à la mord-moi le nœud qui va changer la trajectoire de la terre !!!!

A noter "le controle de soi..." L'outrecuidance...LOL

Notez aussi que le désir d'Indy est de redevenir SDF au brésil,
Je crois que l'on s'y amuse beaucoup mieux.

C'est marrant dès que le français est loin de sa maman...
Bon je n'épiloguerai point, en considération des âmes sensibles...LOL

Sebou34

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Re : Quand on dit qu'il n'y a pas la crise au Brésil

Le fameux plein emploi au brésil ? Le voici, il est là, il arrive, il est tout frais le plein emploi : http://www.mises.org.br/Article.aspx?id … ue#ac57281

guarana-saoluis

Moderateur

Re : Quand on dit qu'il n'y a pas la crise au Brésil

Excellent blog  tres bons articles sur l'economie .. parcouru rapidement foutu dans mes favoris ... devrait  plaire au clients du café du commerce donc merci pour l'info sebou34.

slt

borninusa

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Re : Quand on dit qu'il n'y a pas la crise au Brésil

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borninusa

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Re : Quand on dit qu'il n'y a pas la crise au Brésil

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borninusa

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Re : Quand on dit qu'il n'y a pas la crise au Brésil

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borninusa

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Re : Quand on dit qu'il n'y a pas la crise au Brésil

L' augmentation de salaire peut elle etre benefique a l' economie ?
Reponse : oui peut etre ...mais au japon.

L experimentation continue au soleil levant avec la planche.++
La bourse reagit tres faborablement sur 2 big entreprises nippones

Maintenant les effets a plus long terme avec " l offensive de printemps " ?
A suivre ..

Indysantista

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Re : Quand on dit qu'il n'y a pas la crise au Brésil

Trouvez les dires de Dilma récemment à Rio à une réunion de B Gates... revoir le pib 2012 et elle se goure déjà... ça va chambouler tout ! y compris le salaire minimum de 2013.
Question pagaille, sera du béton alors? il doit y avoir une magouille à découvrir.
Lire Celso Ming.
Idem pour comprendre comment Pétrobras est saignée à blanc pour maintenir le carburant bas = pas d'inflation ! et les cons roulent à qui mieux mieux....

Indysantista

Membre

Re : Quand on dit qu'il n'y a pas la crise au Brésil

Celso Ming
Quando afirma que o PIB chinfrim se deve ao baixo consumo (prejudicado pelas fracas exportações pelo funcionamento precário do crédito), o ministro contraria as estatísticas que, ainda nesta quinta-feira, apontam para um avanço do consumo muito superior ao do PIB: 4,5% contra apenas 2,2% (veja o Confira). O problema não está no consumo, mas na baixa capacidade de oferta, a ponto de puxar excessivamente pelas importações.

Independentemente disso, apontar apenas dois problemas é de um reducionismo atroz. A crise externa, por exemplo, é menos prejudicial ao Brasil do que as próprias mazelas internas e, a rigor, não pode ser considerada uma perna da economia. Atribuir as dificuldades à crise externa é desviar as atenções de nossos próprios problemas.

É verdade que a crise externa está reduzindo as exportações de mercadorias produzidas no Brasil. Mas aí os problemas são nossos e mais profundos. Tanto são que a crise é a mesma para todas as economias e, no entanto, o desempenho do PIB brasileiro no terceiro trimestre do ano foi o pior no Grupo dos 20 (G-20), como apontou a OCDE nesta quinta.

O setor produtivo brasileiro opera com baixa competitividade, porque enfrenta um custo Brasil excessivo: altíssima carga tributária, infraestrutura ineficiente, uma Justiça lenta e confusa, legislação trabalhista caótica, burocracia exasperante, e por aí vai. Afora isso, o País descuidou dos acordos bilaterais de comércio. Mais de 300 acordos do tipo estão em vigor no mundo, que dão preferência às encomendas da indústria dos países signatários e alijam as do Brasil.

Também quando diz que o consumo está sendo freado pela desaceleração do crédito livre às pessoas físicas, o ministro deixa de levar em conta mancadas mais graves. Os bancos avançam mais devagar no crédito porque a inadimplência (calote) aumentou. E só aumentou porque as famílias estão excessivamente endividadas. Também aí, as causas do mal desempenho da economia não são o desinteresse dos bancos ou alguma trava do sistema financeiro interno, mas os limites físicos, digamos assim, da capacidade de consumo do brasileiro.

A todo momento, as análises esbarram nas questões estruturais de sempre. E o primeiro passo para enfrentá-las é admitir os problemas, coisa que o governo Dilma não faz ou só faz com muita dificuldade.

Nesta sexta-feira, a consultoria Tendências alertou para o fato de que os títulos do Tesouro do Brasil já estão pagando um “seguro contra calote” mais alto do que os títulos da Itália, da Espanha e da Irlanda, três dos países problemáticos (veja gráfico acima). Trata-se do ativo conhecido pela sigla CDS (Credit Default Swap) que fica tanto mais caro quanto maior for o risco de um título

Chez les 3 autres la chute est rapide, au Brésil la montée est plus lente mais certaine !!!