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Forum abc-latinaDiscussions sur l' Amérique Latine
#1 2014-07-21 20:52:19
Sommet BRICS à FortalezaPourquoi donc à Fortaleza? Hors ligne #2 2014-07-27 18:15:33
Re : Sommet BRICS à FortalezaCe sujet pourrait se nommer: " Tout est-il fichu au Brésil? et Brics." En changeant de lunettes, des évolutions sont intéressantes, surtout face au déclin occidental. Tout n´est pas ce que nous voyons depuis des années, quelques bons points: Cependant, le réel actuel après l´intervention inopportune de Lula sur l´Irak, montre des différences. Un tout petit pays comme Israël se permet tout, tout de ce qui est interdit mais jusqu´á quand? Hors ligne #3 2014-07-29 02:09:57
Re : Sommet BRICS à FortalezaPonzi: les derniers entrants sont les premiers plumés. Axiome du moment : Israël n´y est pour rien, il subit et doit user de la force sans rien respecter, loi de survie. Et plus général : Tous aux robots et viagra. Coeff natalité Brésil chute vers 1,8 par femme. Un monde de vieux. En, plus, les femmes deviennent cougar et les travelos peuvent pisser chez les femmes á SP. Hors ligne #4 2014-07-29 12:03:28
Re : Sommet BRICS à FortalezaL'Argentine menacée de cessation de paiement. Un juge américain a donné jusqu'à mercredi à l'Argentine pour commencer à rembourser les fonds spéculatifs qui ont refusé de renégocier la dette du pays après la crise financière de 2001. A trois jours de l'échéance, Buenos Aires espère encore trouver une solution négociée. Le gouvernement argentin continue de tenter de négocier avec ses créanciers ce lundi alors que le pays se rapproche à grands pas d'une cessation de paiement. Vendredi, la justice américaine a en effet ordonné à Buenos Aires de rembourser 1,3 milliard de dollars à deux fonds spéculatifs, NML et Aurelius. Des fonds qui avaient refusé de participer à la restructuration de la dette du pays après la crise financière qui l'a secoué en 2001. Cette "extorsion judiciaire", comme l'a qualifiée le gouvernement argentin, tombe d'autant plus mal que Buenos Aires doit aussi rembourser une partie de sa dette restructurée le 30 juillet. Conséquence de cette double obligation, la troisième économie d'Amérique latine pourrait donc se retrouver en défaut de paiement, pour la deuxième fois en douze ans. Un spectre qui inquiète évidemment Buenos Aires .. mais aussi le FMI. Olivier Blanchard, chef économiste du Fonds, estime que "cela pourrait avoir des coûts considérables pour le pays, le privant d'accès aux marchés financiers pendant un certain temps". D'après l'économiste, cela créerait également "une incertitude" pour les autres pays en difficulté susceptibles de vouloir restructurer leur dette. Hors ligne #5 2014-07-29 21:22:41
Re : Sommet BRICS à FortalezaJe parlais de la diapora em 52 apr+es jc... Israël est toujours une sorte de colonie mal définie. Crée sur les bases du terrorisme depuis les îles... ce n´est pas un pays "normal" qui empêche les autres d´être normaux. Hors ligne #6 2014-07-29 21:26:25
Re : Sommet BRICS à FortalezaArgentine refuse de payer les fonds spéculatifs car si elle aceptait, tous les autres qui ont accepté une perte jusqu´á 67 ou 87%, reviendraient en justice. De plus, en quoi un simple juge parce que américain, peut décider ainsi? Hors ligne #7 2014-07-30 03:35:07
Re : Sommet BRICS à FortalezaDéjà bien des grincements avec l´entrée de Chavez mourrant.. les limites de ventes de bagnoles en Argentine etc. mais, 3 ème réserve mondiale de gaz de chiste. Tribunal aurait pu étre n´importe qu´elle place financière, Londres, Franckfort... Paris et ses marionettes. Hors ligne #8 2014-07-30 09:35:18
Re : Sommet BRICS à Fortalezapour l argentine, il serait question d'un defaut "selectif " / aux fonds vautour , les banques privees arg viendraient en caution de la dette . il reste un retour bien difficile sur les marches avant une periode bien longue Dernière modification par borninusa (2014-07-30 17:10:20) Hors ligne #9 2014-07-30 14:17:07
Re : Sommet BRICS à FortalezaA cause de cette clause, l'Argentine pourrait être contrainte d'améliorer son offre pour tous ses créanciers qui ont vu leur créance restructurée. Dans ces conditions, la facture pourrait s'élever à 100 milliards de dollars. Cela ne serait pas soutenable pour l'Argentine dont les réserves ne dépassent pas les 30 milliards de dollars, et ne cessent de fondre depuis le début de l'année, alors que le pays se trouve à nouveau en pleine crise monétaire. Mais les dernières informations en provenance de New York, où Buenos Aires négocie actuellement avec les fonds vautours sous l'oeil du médiateur Daniel Pollack, font croire à un accord avant ce soir. Hors ligne #10 2014-07-30 14:19:02
Re : Sommet BRICS à Fortaleza2001 le pays est affaibli par les mesures drastiques du FMI qui ont accompagné les divers plans d'aide des années 90. Il est en pleine récession et se situe dans une spirale déflationniste. Même si sa dette n'est pas particulièrement importante (53,9% du PIB), les mauvaises perspectives de l'économie viennent limiter la confiance des investisseurs qui exigent des primes de risque toujours plus élevées. Les taux d'intérêt des obligations passent de 10% au début de l'année 2001 à plus de 30% à la fin de l'année. Au mois d'août, le FMI accorde une avance de 8 milliards de dollars à l'Argentine. Malgré des mesures d'austérité (baisse de 13% du revenu des fonctionnaires), le déficit dérape et atteint 4% du PIB. Au mois de décembre, le FMI suspend son aide. Le pays est en défaut de paiement. 2003-2008 : reprise de la croissance Entre 2003 et 2008, la croissance atteint même en moyenne 8,5%. Elle s'explique par l'augmentation de la demande intérieure et la baisse de valeur du peso qui a augmenté les exportations, notamment de produits agricoles comme le soja. La banque centrale a même pu accroître ses réserves de change et a réussi à conserver une quasi-stabilité avec le dollar (3 pesos pour un dollar) 2005 : première restructuration de la dette 2008 : achat d'obligations par des fonds spéculatifs 2010 : seconde restructuration de la dette Mais 7% des investisseurs n'ont toujours pas accepté les restructurations et souhaitent être remboursées en totalité, parmi lesquels NML Capital et Aurelius Capital Management. Ces derniers vont mener une action en justice auprès de la justice américaine pour être remboursés en intégralité et avec intérêts. Les obligations concernées sont en effet soumises à la juridiction de l'État de New York. Août 2013 : la justice américaine donne raison aux fonds vautours Été 2014 : un dilemme pour l'Argentine Autre problème : si l'Argentine rembourse les fonds vautours, elle s'expose ensuite à rembourser les autres investisseurs qui n'ont pas accepté la restructuration. La facture s'élèverait alors à plus de 10 milliards de dollars. Hors ligne #11 2014-07-30 18:37:39
Re : Sommet BRICS à FortalezaBanques européennes et autres demandent de suspendre le jugement et veulent aider, pas couler un pays pour s´enrichir. de 50 á 800... Pas que Dilma . Hors ligne #12 2014-07-31 11:34:14
Re : Sommet BRICS à FortalezaÇa sent le chaos pour le tango,les prix vont augmenté Hors ligne #13 2014-07-31 12:11:05
Re : Sommet BRICS à FortalezaUne raison de plus pour aller en Argentine et de profiter de la crise Hors ligne #14 2014-07-31 12:13:47
Re : Sommet BRICS à FortalezaC'est le contraire CHICO ! , l'inflation va augmenter , donc les prix ..! Hors ligne #15 2014-07-31 12:31:49
Re : Sommet BRICS à FortalezaNon pas du tout........le pays tourne sur lui même, il est à la recherche de devises pour payer ses importations qu'il doit régler au "cul du camion", donc pour du change sur place en liquide, au marché parallèle, le gringo fera des affaires avec ses Euros ou ses R$ par rapport au change officiel et donc paiera encore moins chère ses dépenses sur place même si les prix augmentent...va faire un tour à BA et tu le constatera que cela sera toujours moins cher qu'ici et meilleur marché Dernière modification par Chico brasil (2014-07-31 12:34:55) Hors ligne #16 2014-07-31 13:00:31
Re : Sommet BRICS à Fortalezal' Argentine en voie de " Chavezisation " ! avec effet de change tres favorable pour le touriste ( mais inflation a 40% ou plus pour les locaux )pour tout ce qui peut etre paye au black et en dollar .. tout le reste en biens materiels va monter encore un peu plus comme valeur refuge. Dernière modification par borninusa (2014-07-31 23:05:57) Hors ligne #17 2014-07-31 14:24:12
Re : Sommet BRICS à FortalezaTu as tous les cadors de la Cata ici Chico.... Hors ligne #18 2014-07-31 14:37:07
Re : Sommet BRICS à FortalezaL'Argentine c'est pas des pédés comme la Grèce, Espagne ou Portugal. Hors ligne #19 2014-07-31 14:47:08
Re : Sommet BRICS à FortalezaUn juge américain qui autorise à des vautours de se goinfrer a 1600 % sur la dette... Hors ligne #20 2014-08-01 13:57:53
Re : Sommet BRICS à FortalezaSi c'est mon avis que tu veux, je dis oui à l'Argentine, même si la vie y est plus chère, Dernière modification par VASP (2014-08-01 13:58:54) Hors ligne #21 2014-08-01 18:11:37
Re : Sommet BRICS à FortalezaPoste comique, en attendant les importations ne se règlent pas...et pour cause pour sortir officiellement du dollar...il faut connaitre x qui connait y, dans ces conditions j'ai actionné chez un client la garantie de la maison mère anglaise, on parle de 400 000 de mer.. chimique, sinon je provisionnais 80%...on attend maintenant que les anglais paient...se défaut qui est dans les fait depuis 6 mois va à court terme suspendre les importation ou paiement à l'avance, dans un an on verra mieux...on sait jamais il vont ressortir l austral ? Hors ligne #22 2014-08-01 18:35:08
Re : Sommet BRICS à FortalezaArgentine Les prix ont augmenté de 15% au 1er semestre 2014, a informé mardi l'Institut national de statistiques (INDEC) qui note que l'inflation de juin (1,3%) est la plus faible des six premiers mois de l'année. Depuis six ans, l'inflation annuelle dépasse les 20% en Argentine. Outre une inflation chronique, l'économie argentine est affaiblie par une amorce de récession. La consommation baisse et la production industrielle recule. Hors ligne #23 2014-08-01 18:38:59
Re : Sommet BRICS à FortalezaIl n y a pas que l argentine en crise,Ecuador > Moody's credit rating: Caa1 When Ecuador last defaulted in 2008, President Rafael Correa described the nation's debt as "immoral" and "illegitimate." The country's past debt sales had been tainted by corruption, Correa said at the time. Since 2008, Ecuador's Moody's credit rating has steadily risen, reaching Caa1 in 2012. Earlier this year, the country both bought back a substantial fraction of its defaulted debt and issued new bonds for the first time since its previous default. According to figures from the IMF, Ecuador's economic growth has been relatively healthy in recent years. GDP grew by 5.1% in 2012 and by an estimated 4.2% last year. GDP is forecast to rise by 4.2% again in 2014. Egypt > Moody's credit rating: Caa1 Political unrest in Egypt in recent years has made investors wary, leading Moody's to downgrade Egyptian debt to Caa1 in March 2013. Fears were further compounded by currency devaluation as Egyptians moved their assets into U.S. dollars and out of Egyptian pounds. But despite the country's low credit rating, yields on Egyptian bonds fell below 5% in June. This may be an indication that investors are less concerned about the risk of political instability in the country. And while its outlook remains negative, Moody's recently praised Egyptian President Abdel Fattah el-Sisi's commitment to reduce the government's budget deficit in the fiscal year starting on July 1, 2014. MORE: The 10 most oil-rich states Pakistan > Moody's credit rating: Caa1 This April, Pakistan issued its first bond in seven years, raising roughly $2 billion in dollar-denominated debt. Pakistan has a multi-billion dollar line of credit with the IMF, but loans are conditional on the country enacting structural reforms to its economy. Pakistan was at risk of default last year until the IMF agreed to lend it money. Tax collection remains a major problem in the country. According to The Express Tribune, only roughly one in 200 citizens even files an income tax return. The country's total debt amounts to roughly 64% of its annual GDP, even as government spending for 2014 is estimated to be among the world's lowest, at roughly 20% of GDP. Venezuela > Moody's credit rating: Caa1 Venezuela's need for short term cash may lead to trouble in future years. President Nicolas Maduro's administration plans to issue bonds through the state-owned oil company, Petroleos de Venezuela, to increase the availability of foreign currency in the country. More foreign currency may help tame inflation in Venezuela, which stood at 40.7% in 2013. However, according to Bloomberg, the rate at which the oil company is taking on debt will likely outpace oil revenues in the coming years, making it increasingly difficult to make future loan payments. Venezuela is expected to spend less than 2% of GDP on interest payments in 2014, a number that is likely to balloon if the country continues to rapidly issue debt. Venezuela also has the highest 10-year bond yields in the Western Hemisphere at 15.81% as of June 2014. Argentina > Moody's credit rating: Caa1 Argentina's current problems can be tied back to 2001, when the nation defaulted on about $100 billion worth of debt. While most of the nation's bondholders at the time agreed to restructure their debt, a few investors refused. After a U.S. court ruled in 2012 that Argentina should not pay its current bondholders without paying the holdouts as well, the country has faced the prospect of yet another default. On July 30, Standard & Poor's stated that Argentina had defaulted. Other relevant financial bodies, such as the International Swaps & Derivatives Association, are also expected to declare Argentina has defaulted. Argentina has been beset by economic problems for years. Inflation was widely-believed to be well in excess of the government's reported rates, and Argentina has deliberately devalued its currency, the peso. MORE: Cars so hot they're out of stock Belize > Moody's credit rating: Caa2 Belize is a tiny Central American nation with a population of less than half a million residents. The country has suffered from debt problems for years, first defaulting nearly a decade ago, after which it consolidated all of its international debts into a single bond. The country missed a payment on this "superbond" in August 2012, leading to a 2013 debt restructuring that resulted in a longer repayment time, a haircut to the bond's overall value, and smaller payments for bondholders. Following the restructuring, Moody's upgraded Belize's credit rating to Caa2 with a stable outlook. The IMF projects that Belize's total gross debt will reach 80.4% of GDP by the end of 2014. Cuba > Moody's credit rating: Caa2 In April, Moody's downgraded Cuba's credit rating to Caa2 with a stable outlook. Weaknesses cited by Moody's at the time included "limited access to external financing, high dependence on imported goods, political transition risk, and lack of data transparency." Recently, Russia announced it had written off most of Cuba's debt, significantly cutting the country's obligations. Cuba does not pay interest on its debt and its bonds are rarely traded. The IMF does not collect figures for Cuba, which is not a member of the IMF and World Bank. Cyprus > Moody's credit rating: Caa3 In March of last year, Cyprus received a 10 billion euro loan from the IMF, the European Central Bank, and the European Commission to save its banking system from bankruptcy. Just over a year later, Cyrus returned to global debt markets, raising $1 billion in five-year bonds yielding less than 5%. This was a moderate victory for the Mediterranean island country as its five-year bond yields neared 14% in prior years. Despite rating its bonds as Caa3, the lowest rating before default, Moody's has a positive outlook on the country. The country's improving economic performance, coupled with historically low interest rates in other eurozone countries, will likely push more adventurous investors towards Cyprus to take advantage of higher yields. Greece > Moody's credit rating: Caa3 Once the poster child of economic calamity, Greece's efforts to restructure its debt and impose economic discipline are paying off. In April of this year, Greece returned to international bond markets after a four-year hiatus, raising nearly $4.2 billion in an oversubscribed issue of five-year bonds with a yield below 5%. According to Greece's Finance Ministry, almost 90% of bonds were issued to investors outside of Greece, indicating that international investors are beginning to view Greek government bonds as a good investment. While this is good news, Greece still has more work to do. The country's unemployment rate remains above 26% and deflation currently threatens to further depress demand. Jamaica > Moody's credit rating: Caa3 Jamaica re-entered the global bond market in July 2014 with a bang, raising $800 million, which was well above the $500 million expected by government officials. The expanded deal indicates that investors are excited about investment opportunities in Jamaica. The country's improving economy may explain some investor exuberance. Despite slow growth and an unemployment rate that has been consistently above 11% since the global recession, Jamaica has reduced government expenditure as a share of GDP from 38.6% in 2009 to an estimated 26.9% this year. Additionally, the Jamaican government expects its budget deficit to be nearly balanced in 2014. Ukraine > Moody's credit rating: Caa3 Following the ouster of President Viktor Yanukovych in February, who was a close ally of Russian President Vladimir Putin, the political crisis in Ukraine has largely escalated. In March, Russia annexed the Ukrainian peninsula of Crimea in the Black Sea, from Ukraine. Violence between the government and pro-Russian separatists has also been rampant in eastern Ukraine. Financially, Ukraine's relationship with Russia is also complex. Russia lent its neighbor $3 billion last December, when Yanukovych still ran the country. The bond deal contained a clause triggering automatic full repayment if Ukrainian government debt exceeded 60% of GDP, alongside other conditions that have worried several debt market experts. Due to the ongoing crisis, Moody's downgraded Ukraine's credit rating, and the IMF excluded projections for Ukraine from its most recent World Economic Outlook report. Hors ligne #24 2014-08-01 20:28:56
Re : Sommet BRICS à Fortalezahttps://www.youtube.com/watch?v=VBPZ58dzjfE Going to get worse before it gets better, outof capital market for another10 years...vidéo de février de Kyle Bass pas de l'analyse teknik mais à la différence à part le housing bubblea in canada dont je ne sais fichtre rien tout le reste c 'est réalisé !!! Dernière modification par ohaitiéaqui (2014-08-01 20:29:39) Hors ligne #25 2014-08-01 20:45:26
Re : Sommet BRICS à FortalezaQue dire? San Marin et Andorre... Fichtre sans le glaiseux in the mood ni Fool International Madness, au mpoins 2 magasins ne font pas faillite. PLus sérieux l´immobilier: Ah bon? si... on va y vendre de nouveau maintenant quand j´y fais li mechoui dans li baignoire, ti vas voir. Hors ligne |
avec un pesos faible le coût de la vie est d'autant plus intéressant !!! et puis le chaos annoncé n'en est pas un, une petite bourrasque tout au plus...
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