Commenter sans se faire incendier de suite, Allo Pompiers ?
Ces problèmes graves ne sont pas spécifiques au Brésil. Pauvreté, analphabétisme, niveau général déficient. Les riches se payent ce qu’ils veulent sur le dos des pauvres.
La valeur d’une vie comme son mode de vivre, ne valent que ce que chacun y apporte. Ma vie de mer.. vaut peu ? je peux assassiner le voisin.
La femme est abaissée par les religions (catho en tête), sa valeur est une misère donc son sexe un bien de consommation passager sans valeur.
Encore faut-il ne pas sans cesse fustiger qu’un versant du fait.
La fonction crée l’organe. Sans offre, pas de clients. La pub crée des besoins. Mais aussi, moins souvent, une demande crée la réponse.
S’il n’y avait pas de femmes inconscientes enceintes à répétition, sans moyens économique d’assumer la procréation qui abandonne l’enfant, la bonne amie brésilienne n’aurait pas offert et pu procurer la fillette. Au minimum elle a eu de l’amour, une excellente éducation, des diplômes et la sécurité stable jusque-là.
Le couple est fautif d’avoir payé pour une fillette, véniel. L’entremetteuse est plus coupable et sans mère débile qui abandonne le bébé, il n’y a pas d’adoption ou fausse déclaration de naissance. Pourquoi est-ce permis au Brésil ? Lieu, date et parents faux ?alors que l’administration est hyper pointilleuse à être chiante ?
Pourquoi et que va-t-elle gagner à trouver sa mère biologique qui sera dans quel état ou morte ? Les orphelins adoptés vivent bien, j’en connais. Ceux de l’assistance publique ont des séquelles positives et négatives..
Un pieux mensonge vaut mieux que cette vérité accablante. Mère morte en couche et de père inconnu pour cette raison. Point. Des gens analphabètes t’avaient recueillie… des travailleurs saisonniers sans domicile fixe.
Idem pour les enfants de la rue. S’il n’y avait pas de géniteurs, les flics pourris auraient moins de choix pour leurs exactions. Que la police soit ce qu’elle est, est du ressort de chaque Brésilien et s’il l’accepte par peur ou flemme, dans une vraie démocratie, il doit faire son mea culpa.
Au Brésil on défend toujours le faible, c’est bien mais trop. Personne de cette façon n’a jamais tort. C’est la faute d’un autre… ou de Dilma !!!