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#26 2008-02-03 20:19:41

ohlinda
Membre

Re : pour un francais au bresil

Jean Marc
je pense aussi que je deviens  presque une vrai française.Nous ne tombons pas seulement amereuse de un homme mais aussi de son pays, n'est ce pas?

Jean Marc   hoje deve estar uma loucura ai no Brasil nao e! pois  e quase carnaval. Espero que voce se divirta com seus amigos. Et coma sobre tudo o Rockefort borboleta e melhor que o sociedade. beijao

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#27 2008-02-03 21:57:42

jeanmarc
Membre

Re : pour un francais au bresil

ohlinda a écrit :

Jean Marc
je pense aussi que je deviens  presque une vrai française.Nous ne tombons pas seulement amereuse de un homme mais aussi de son pays, n'est ce pas?

Jean Marc   hoje deve estar uma loucura ai no Brasil nao e! pois  e quase carnaval. Espero que voce se divirta com seus amigos. Et coma sobre tudo o Rockefort borboleta e melhor que o sociedade. beijao

Ohlinda

E loucura sim , mas o tempo não esta ajudando pois esta chovendo desde ontem de noite , mesmo assim a loucura não vai para tão cedo !

vc esta me dando agua na boca com o Rockefort .... saudade da comilança Françesa pode crer !

para o resto e verdade vc casa com um homen o seu pais e a suas tradicoes


beijos
jean marc

Dernière modification par jeanmarc (2008-02-03 21:59:39)

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#28 2008-02-04 02:06:18

smarty
Membre

Re : pour un francais au bresil

manolo a écrit :

C est sur que les fruits doivent enormement te manquer, surtout quand tu manges des mangues,rsss.....sur 10 mangues que j achete 3 sont potable.........alors le choix?
France pour sa nourriture gastronomique, la richesse historique!Ou le Bresil pour ces fruit , la fete, ect....

N'oublions pas que la mangue, viens de l'Inde (et Birmanie depuis 4 000 ans) et non du brésil......!

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#29 2008-02-04 02:10:48

smarty
Membre

Re : pour un francais au bresil

manolo a écrit :

rss , cannard a l orange?HUMMMMMMM, mais bon si tu as la rectte tu pourrais dire a tu namorada de te le faire.....

Et bien non, personne, ne peut me faire un canard à l'orange du même acabit...
Pareil pour ses quenelles de brochet faites à la cuillère de cuivre etc etc !
Son foie gras aux raisins... etc etc


pour la mangue, elle n'est arrivé au brésil qu'au XVI ème sciècle

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#30 2008-02-04 08:26:58

manolo
Membre

Re : pour un francais au bresil

smarty a écrit :
manolo a écrit :

rss , cannard a l orange?HUMMMMMMM, mais bon si tu as la rectte tu pourrais dire a tu namorada de te le faire.....

Et bien non, personne, ne peut me faire un canard à l'orange du même acabit...
Pareil pour ses quenelles de brochet faites à la cuillère de cuivre etc etc !
Son foie gras aux raisins... etc etc


pour la mangue, elle n'est arrivé au brésil qu'au XVI ème sciècle

Certe smarty, mais entre la mangue que tu trouves en France et celle du Bresil......no comment!!!!

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#31 2008-02-04 10:07:03

cinerocky
Membre

Re : pour un francais au bresil

Un de mes plaisirs c'est un plateau d'huitres arrosé d'un verre de vin blanc de l'ile de Ré, dégusté au pied du Phare. J'ai fait traverser le pont ( 4 KM) à ce vin, plusieurs fois, j'habite juste de l'autre coté, eh bien, rien à voir, c'est du vinaigre sur le continent. Pourtant c'est le même vin fabriqué dans le même chais etc...
C'est fou ce que 4 km comptent pour les papilles.
Ma fille, lorsqu'elle était petite, ( 4 ans) arrivait à distinguer qui avait préparé son pamplemousse. Il paraît que le goût était différent! Même couteau, même découpe.
Ah les français, dès qu'on parle de bouffe, on devient......sentimentaux!

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#32 2008-02-04 10:52:42

manolo
Membre

Re : pour un francais au bresil

cinerocky a écrit :

Un de mes plaisirs c'est un plateau d'huitres arrosé d'un verre de vin blanc de l'ile de Ré, dégusté au pied du Phare. J'ai fait traverser le pont ( 4 KM) à ce vin, plusieurs fois, j'habite juste de l'autre coté, eh bien, rien à voir, c'est du vinaigre sur le continent. Pourtant c'est le même vin fabriqué dans le même chais etc...
C'est fou ce que 4 km comptent pour les papilles.
Ma fille, lorsqu'elle était petite, ( 4 ans) arrivait à distinguer qui avait préparé son pamplemousse. Il paraît que le goût était différent! Même couteau, même découpe.
Ah les français, dès qu'on parle de bouffe, on devient......sentimentaux!

mais encore, un bon sauterne, avec du foie gras poilé, avec du bon paim de campagne, hé hé, c est sur que sa doit manquer a certains.....On devrait monter un club des nostalgique de France, et trouver un français qui fait de la bonne bouffe rien que pour nous, rsss

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#33 2008-02-04 13:44:21

bahia51
Membre

Re : pour un francais au bresil

faire la queue une heure a la poste pour prendre un recommande  et pour vous entendre dire dsl repasser demain..

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#34 2008-02-04 15:41:37

smarty
Membre

Re : pour un francais au bresil

Pour un français au Brésil, il faut qu'il lise avant tout cet article !

LA PEUR AU SERVICE DU NEOLIBERALISME
Entretien avec Vera Malaguti Batista, sociologue brésilienne.
Pour la sociologue, la peur est utilisée par les élites pour paralyser et
dépolitiser la société brésilienne.

Tout au long de l’histoire de l’humanité, la peur a toujours été utilisée
pour dominer et contrôler la société. Au Brésil, en particulier,
l’utilisation de ce sentiment, diffusé par les grands médias,
criminalise les actions populaires et les mouvements sociaux. Telle est
l’idée défendue par la sociologue Vera Malaguti Batista, auteur d’une
recherche historique qui montre que la peur, depuis l’époque de la
colonisation, est utilisée pour maintenir les hiérarchies, rendant la
société plus conservatrice. « Depuis toujours les mouvements de la
population brésilienne sont traités comme crime, chahut, désordre,
chaos. Je pense que c’est une récurrence historique pour maintenir un
ordre très similaire au système esclavocrate impérial », affirme-t-elle.

Selon Vera, dans cette stratégie promue depuis toujours par l’élite
brésilienne, les médias de masse sont un outil efficace. « Au Brésil,
l’une des choses les plus effrayantes est la domination de l’âme et des
esprits de la population brésilienne par le monopole de la télévision.
L’existence d’un discours unique fait en sorte que le Mouvements des
travailleurs ruraux sans terre (MST) apparaît toujours comme une menace
et non comme une grande lutte du peuple brésilien pour sa souveraineté ».

En entretien avec le Jornal Sem Terra, la sociologue défend le fait que,
pour freiner cet état de fait, les mouvements sociaux brésiliens doivent
s’unir dans la lutte contre le monopole des moyens de communication. «
Aujourd’hui, je soutiens que cette lutte devrait être considérée comme
une priorité ».

Comment le néolibéralisme utilise-t-il la peur pour maintenir sa
domination et son exploitation ?

J’ai fait une étude de l’histoire du Brésil et notamment de Rio de
Janeiro, sur les peurs qui apparaissaient au 19e siècle. Ma première
observation a été que l’élite, quand elle veut écarter la masse des
travailleurs brésiliens, développe, principalement par le biais des
médias, une stratégie pour démoniser les actions populaires.

Historiquement, il y a une façon de regarder le peuple brésilien comme
une menace, notamment les jeunes des milieux populaires. Dans ma
recherche de maîtrise, j’ai travaillé sur les drogues et les jeunes dans
la capitale carioca [Rio de Janeiro], et j’ai découvert que si un garçon
noir, habitant de la favela, est pris avec la même quantité de drogue
qu’un garçon blanc, habitant de la zone sud, les discours construits par
le système seront complètement différents. L’un sera dépendant, l’autre
trafiquant. Parce que cet autre représente le peuple sur qui il est
toujours jeté un regard de méfiance.

Au 19e siècle, la ville de Rio de Janeiro comptait la plus grande
concentration d’Africains des Amériques.

La ville blanche et possédante utilisait tout le temps le discours de la
peur. Pourtant, ceux qui vivaient dans des conditions de vie horribles,
c’était la population africaine, qui était fustigée, mal traitée et
soumise aux pires conditions de travail. C’est ce qui explique pourquoi
il y avait là une situation sociale explosive.

Au lieu de travailler les conflits par la voie sociale, le discours de la
peur fait que l’Etat cesse de répondre aux revendications de la
population pour construire un système pénal. Depuis que le
néolibéralisme s’est installé au Brésil, avec une plus grande intensité
à partir de 1994, notre population pénitentiaire a quintuplé. Le
ministère de la Justice travaille dans la perspective qu’en 2007, il y
ait 500 mille détenus au Brésil. En 94, ce chiffre était d’environ 100
mille. Nous assistons aujourd’hui à un mouvement de création de
précarité sociale, de chômage, de destruction des liens collectifs, de
dépolitisation et de criminalisation de la pauvreté.

Le Mouvement des sans terre (MST) est un exemple de cela. Le Mouvement
mène une lutte légitime qui remonte à l’origine de l’histoire du Brésil.
C’est ce que le professeur et philosophe Marildo Menegatti appelle les
révolutions différées.

Quelles sont les conséquences pour la société brésilienne ?

Dans les années 60, sous le gouvernement de João Goulart [1], quand on
discutait les réformes de base, la peur de la révolution, la peur de la
violence s’est distillée dans la presse, quand en réalité c’était le
moment où le peuple brésilien par sa mobilisation essayait d’avancer.
Aujourd’hui nous assistons non seulement à la criminalisation du MST,
mais aussi à celle du travail précaire, des enfants des rues. Un pays
décent regarderait ces enfants abandonnés dans la rue d’un regard
solidaire, qui reconnaîtrait en eux ses propres enfants. Pourtant, la
peur fait que la société érige davantage de prisons, davantage de
grillages, davantage de murs, renforçant ainsi la distance entre la
pauvreté et une petite élite qui accumule toujours plus de richesses. Le
plus curieux et le plus absurde de tout cela c’est que c’est cette
bourgeoisie la plus protégée qui diffuse le plus sa peur. Tandis que
celle qui vit la barbarie, c’est la population pauvre de la campagne et
de la ville.

C’est pour tout cela que la peur est un instrument fondamental pour
conserver la hiérarchie de la société. Au 19e siècle, il n’y avait rien
de plus légitime que la rébellion esclave, étant données les conditions
dans lesquelles ces personnes vivaient. Pourtant, la presse de cette
époque faisait référence aux quilombos dans les mêmes termes
qu’aujourd’hui les médias montrent la favela, le bal funk, le commerce
de drogues, les vendeurs ambulants. Les grands noeuds qui existent dans
la société brésilienne, comme l’accès à la terre et à l’éducation, ont
leur origine dans la manière selon laquelle le Brésil s’est construit :
en excluant son peuple des richesses.

La peur est un outil fondamental pour maintenir ce mécanisme parce
qu’elle est paralysante et rend la société conservatrice. Une population
qui a peur de la favela va vouloir que l’on en extermine les habitants.
C’est pour cette raison que la mort quotidienne des jeunes qui y vivent
est vue comme quelque chose de naturel. Tout comme au 19e siècle, les
capoeiristas étaient exterminés parce qu’ils représentaient une menace
pour la société esclavocrate. Quand nous regardons la réalité actuelle,
nous comprenons que les problèmes du 19e siècle sont encore là. Les
mouvements de la population brésilienne sont traités comme crime,
désordre, chaos. Je pense que c’est une récurrence historique pour
maintenir un ordre très similaire au système esclavocrate impérial.

La peur paralyse la société et la rend conservatrice. Ce n’est pas un
sentiment libérateur, au contraire, elle fait en sorte que les personnes
se ferment, se méfient les unes des autres. Tout au long de l’histoire
de l’humanité, ce sentiment a été d’une grande utilité. Le nazisme,
l’Inquisition de l’Eglise, les Etats-Unis avec la persécution de
l’Islam, en sont des exemples clairs. Le choix d’un ennemi crée la
propagation de la peur, qui produit des résultats concrets, tels que la
criminalisation des luttes sociales, la création de boucs émissaires,
l’obsession pour la sécurité publique. Si nous discutions de ces thèmes
sans la propagation de la peur promue par les médias, nous serions en
train de parler de réforme agraire, d’éducation publique, de programmes
sociaux, de santé, de travail. Pourtant, plus on se sent instable dans
le néolibéralisme par rapport à la sécurité de l’emploi, par rapport à
l’accès à la santé, plus on se sent fragilisé dans cet ordre économique,
plus on devient conservateur.

Et quel est le rôle des médias dans cette stratégie ?

Les médias sont les protagonistes de cette histoire. Sans eux, il ne
serait pas possible de diffuser la peur. Les mouvements sociaux et
populaires sont vus comme une menace à l’ordre, ce qui a pour résultat
que la société concède une réponse pénale et non politique, économique
et sociale à ces phénomènes. Ce mécanisme est très efficace pour
conserver les choses telles qu’elles sont pour de nombreuses années
encore dans notre société. Au Brésil, l’une des choses les plus
effrayantes est la domination de l’âme et des esprits de la population
brésilienne par le monopole de la télévision. L’existence d’un discours
télévisé unique fait en sorte que le MST apparaisse toujours comme
terrifiant et violent, et non comme une grande et belle lutte du peuple
brésilien pour sa souveraineté. Les gens subissent un monopole des
médias et un discours unique qui travaille la peur tout le temps. C’est
un mécanisme subtile et subjectif, mais qui a un pouvoir extraordinaire.

Une illustration, c’est ce qui est en train de se passer en Bolivie avec
la nationalisation du gaz. Les Boliviens sont en train d’exercer leur
droit souverain de s’approprier leurs propres ressources naturelles.
Pourtant, les médias provoquent une fausse crise, ils construisent une
autre réalité pour nous éloigner des conquêtes du peuple bolivien, tout
comme du vénézuélien, ce qui provoque la désagrégation de ce moment
historique que nous vivons en Amérique latine. La peur de Chávez, la
peur de Fidel représentent les grands fantômes de l’Amérique latine
parce qu’ils sont le symbole du peuple.

Cette crainte apparaît, d’une certaine manière, dans l’inscription "ordre
et progrès" qui se trouve sur le plus grand symbole du pays, le drapeau
national.

Oui, et dans ce type d’ordre, la hiérarchie sociale ne peut pas être
remise en question. Chacun doit rester à sa place. Au 19e siècle, nous
avons connu ici plusieurs rébellions populaires dans tout le pays,
d’Oiapoque à Chuí. De Farroupilha, dans le sud, à Cabanagem, dans le
Pará [nord], celle des Malês à Bahia, celle de Praieria dans le
Pernambuco. Ce fut une période de grande peur, peur de voir le peuple
arriver au pouvoir, ce qui prouve que c’est une situation qui existe
depuis toujours. Les colonisateurs sont entrés sur le territoire
latino-américain, comme si les indiens représentaient une menace, alors
qu’en réalité ce furent les Espagnols et les Portugais qui ont promu un
génocide sur tout le continent. Nous voyons ceci aujourd’hui quand les
Etats-Unis traitent la résistance en Irak comme du terrorisme, alors que
ce sont les Irakiens qui sont en train d’être terrorisés.

Au Brésil, la société est amenée à avoir un regard négatif sur le MST,
alors que c’est un mouvement envers qui elle aurait naturellement de la
sympathie. Tout cet effort est fait pour maintenir une distance entre
organisations populaires et société, parce que la peur maintient à
distance.

Comment peut-on faire face à cette conjoncture ?

Nous devons conserver nos luttes sectorielles : pour la terre,
l’éducation, la santé, à la ville comme à la campagne. Mais nous devons
tous, de manière très intense, lutter contre le monopole des médias.
Quand un gouvernement qui se dit progressiste, se soumet à ces moyens de
communication, on finit par reculer, autrement dit, nous sommes à la
merci de ce pouvoir médiatique immense de création d’une réalité
politique déterminée. Aujourd’hui, je soutiens que c’est une lutte qui
devrait être considérée comme prioritaire. C’est là que tous les
mouvements sociaux brésiliens devraient s’unir, parce qu’aujourd’hui
nous n’avons pas de voix. Même un mouvement comme le MST, qui dispose
d’une grande et une profonde organisation, finit par ne pas avoir
d’espace ou par être manipulé, apparaissant comme un danger pour le
Brésil.

Note :

[1] [NDLR] Le régime démocratique du président Joao Goulart a été
renversé par les militaires en avril 1964. Goulart avait annoncé qu’il
allait mettre en pratique une réforme agraire radicale et qu’il allait
procéder à la nationalisation des raffineries de pétrole. Il fut
renversé par les militaires. Le lendemain du coup, les Etats-Unis
reconnaissaient le nouveau régime militaire. La dictature a pris fin en
1985.

par Jornal Sem Terra
Source : Sem Terra, journal du MST (http://www.mst.org.br/), année XXIV,
n°62, mai 2006. Traduction : Isabelle Dos Reis, pour le RISAL
(http://www.risal.collectifs.net/).

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#35 2008-02-12 14:22:35

loli
Membre

Re : pour un francais au bresil

-Au niveau bouffe ce qui manque c'est bien sûr les fromages et les charcuteries mais aussi le POIVRE, les cornichons et les herbes de Provence peuchère!! les pack de soupe, les conserves et les surgelés ( ça, je crois qu'il n'y a qu'en france qu'on en utilise autant), du jus de fruit 100%fruit (le Tang c'est pas trop saudavel!)
-les pizza, j'adore la pizza brésilienne mais bon..
-Une eau potable partout et dans chaque foyer!
-un bon lave-linge à eau chaude!!
-Les jouets,les équipements et les vêtements pour enfant de qualité.
-sortir avec mes bijoux
-des beaux meubles solides
-une baignoire
-les alloc', les aides que l'on peut avoir en France, ma mutuelle, des medecins pas des charlatans..
Voilà en gros quelques exemples, je ne connais que la "periferia" et je sais bien qu'avec les moyens on peut tout trouver au Brésil..

PS :  CE QUI ME MANQUE PAR DESSUS TOUT C'EST DE POUVOIR JETER LE PAPIER DANS LES TOILETTES!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! mdr lol

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#36 2008-02-12 14:29:50

alexistour
Membre

Re : pour un francais au bresil

loli a écrit :

-Au niveau bouffe ce qui manque c'est bien sûr les fromages et les charcuteries mais aussi le POIVRE, les cornichons et les herbes de Provence peuchère!! les pack de soupe, les conserves et les surgelés ( ça, je crois qu'il n'y a qu'en france qu'on en utilise autant), du jus de fruit 100%fruit (le Tang c'est pas trop saudavel!)
-les pizza, j'adore la pizza brésilienne mais bon..
-Une eau potable partout et dans chaque foyer!
-un bon lave-linge à eau chaude!!
-Les jouets,les équipements et les vêtements pour enfant de qualité.
-sortir avec mes bijoux
-des beaux meubles solides
-une baignoire
-les alloc', les aides que l'on peut avoir en France, ma mutuelle, des medecins pas des charlatans..
Voilà en gros quelques exemples, je ne connais que la "periferia" et je sais bien qu'avec les moyens on peut tout trouver au Brésil..

PS :  CE QUI ME MANQUE PAR DESSUS TOUT C'EST DE POUVOIR JETER LE PAPIER DANS LES TOILETTES!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! mdr lol

Excellente loli!
Et les moules!
Et les coquilles Saint Jacques! Les belles coquilles de Normandie.... Nossa... Un aller retour poêlé avec juste persil, ail et citron. Je donnerais beaucoup pour pouvoir préparer ce plat aujourd´hui!
Que saudade!!!!

Salut,  mon marmitex vient d´arriver

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#37 2008-02-12 17:17:16

Philbec
Membre

Re : pour un francais au bresil

alexistour a écrit :
loli a écrit :

-Au niveau bouffe ce qui manque c'est bien sûr les fromages et les charcuteries mais aussi le POIVRE, les cornichons et les herbes de Provence peuchère!! les pack de soupe, les conserves et les surgelés ( ça, je crois qu'il n'y a qu'en france qu'on en utilise autant), du jus de fruit 100%fruit (le Tang c'est pas trop saudavel!)
-les pizza, j'adore la pizza brésilienne mais bon..
-Une eau potable partout et dans chaque foyer!
-un bon lave-linge à eau chaude!!
-Les jouets,les équipements et les vêtements pour enfant de qualité.
-sortir avec mes bijoux
-des beaux meubles solides
-une baignoire
-les alloc', les aides que l'on peut avoir en France, ma mutuelle, des medecins pas des charlatans..
Voilà en gros quelques exemples, je ne connais que la "periferia" et je sais bien qu'avec les moyens on peut tout trouver au Brésil..

PS :  CE QUI ME MANQUE PAR DESSUS TOUT C'EST DE POUVOIR JETER LE PAPIER DANS LES TOILETTES!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! mdr lol

Excellente loli!
Et les moules!
Et les coquilles Saint Jacques! Les belles coquilles de Normandie.... Nossa... Un aller retour poêlé avec juste persil, ail et citron. Je donnerais beaucoup pour pouvoir préparer ce plat aujourd´hui!
Que saudade!!!!

Salut,  mon marmitex vient d´arriver

Salut  à tous...

C'est cruel de parler de choses comme cela !!!!!!!!

Je viens de passer un paquet de jours en France .... et je me suis "´déshabitué"....
après une overdose de bons pinards ( du Haut Brion du La Gafeliere , du Clos vougeot  du La Louvière des champagnes à tomber par terre ...etc ) et je vous laisse imaginer les plats qui ont pu accompagner tout cela ..

je dois dire que le retour au Brésil .... je fais un peu la gueule quand je passe à  table ... M~eme le café a du mal a passer ....Je ne vous parle même pas du "mal nommé" pão francês :-)

Mais bon ...

Une petite suggestion .... Lors de mes nombreuses dégustations de foies gras .... on m'a fait découvrir un petit pinard qui se marie parfaitement avec la chose ... un vin blanc légèrement perlant ... très frais et pas très doux ..juste un peu ( en tout cas bien moins qu'un Pacherenc, Jurançon  ou un sauterne )  Le Tariquet .... c'est un vin du Gers ..... excellent

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#38 2008-02-12 19:31:15

smarty
Membre

Re : pour un francais au bresil

Oui, le Sauterne se marie très bien avec !
Le foie gras forme LUCULUS, ç'est plus joli !
D'oie ou de canard ! avec des toast tièdes !

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#39 2008-02-13 14:51:12

ray ishido
Membre

Re : pour un francais au bresil

pour moi ce qui me manque c'est:
la securité
la santé
les nouvelles technologie a un prix abordable
la bouffe

ce qui me manquerais si je rentrait en France?
Pouvoir payer ma formation de pilote, et pouvoir bosser dans l'aviation (encore que sur ce point j'ai un long parcours qui m'attend...).

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#40 2008-02-16 07:35:27

bahia51
Membre

Re : pour un francais au bresil

philbec tu te fais pas chier du clos vougeot rien que sa.... c est peut etre le meilleur bourgogne!!!! enfin pour moi . moi ce qui me manque c est une terrasse de cafe devant une eglise de petites ville de province en ete et a la sortie de la messe !!!!

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#41 2008-02-19 20:10:54

barbudo
Membre

Re : pour un francais au bresil

pour ce qui est du foie gras et da la raclette il y a tjrs une issue.
www.raclette.com.br ça se commande sur le net (et ça arrive) et c´est bon...manque que la vraie charcuterie.
et pour le foie gras sur fortaleza: le charcutier "délices de france". je pense qu il livre sur tout le bresil. et il fabrique ça sur place.

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#42 2008-02-20 22:35:29

smarty
Membre

Re : pour un francais au bresil

Et pour un français au Brésil !
Le top est de se gaver de Açai, en sucos ou en Tigela !
Ca c'est TUDO DE BOM !
Celui qui dira le contraire, sera condamné à mort pour trahison ! LOL rsrsrsrsrsr

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#43 2008-02-24 03:49:05

lerolero
Exclu

Re : pour un francais au bresil

barbudo a écrit :

pour ce qui est du foie gras et da la raclette il y a tjrs une issue.
www.raclette.com.br ça se commande sur le net (et ça arrive) et c´est bon...manque que la vraie charcuterie.
et pour le foie gras sur fortaleza: le charcutier "délices de france". je pense qu il livre sur tout le bresil. et il fabrique ça sur place.

je vais prendre la tangente de ce qui a été dit
en tant que francilien ce qui me manque c est la cuisine ethnique que l on trouve en  France on peut gouter à tant de cuisine différentes et au brésil  c est "ceinture" sans compter que hormis à liberdade à SP la cuisine asiatique version brésilienne n  'est pas à tomber même s i elle reste convenable . La cuisine  italienne est qd même présente et bonne pour sauver l honneur .
Voilà les copains adeptes des  fromage party et des surubas de cochonailles ou pâtés !   eu gostarie de fazer uma orgia d ' andouillettes de guémené même si mon amie brésilienne quand elle la goûté ce plat  a trouvé que cela sentait la "bosta " ( ces bresiliens sont vraiment encore plus indécrottables qu un français il faut les voir bouffer des nems on dirait qu il n ont jamais vu !) rsrs sem rancor

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#44 2008-02-24 19:33:15

bahia51
Membre

Re : pour un francais au bresil

la meilleur des andouille est celle de vire mais moins connu

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